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Auteure |
Emilie Génaédig |
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Mise en scène et scénographie |
François Bourcier |
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Interprête |
Barbara Lambert |
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Autour du spectacle
Le spectacle touchant à des thématiques actuelles, il peut être à destination du tout public et des scolaires.
Un travail en rapport avec le thème peut être envisagé sous forme d’actions culturelles auprès d'écoles, d'associations, de théâtres intéressés par le projet, pour des groupes d'élèves ou d'adultes.
Suivant la demande, un échange en bord de scène peut-être prévu en fin de représentation entre l'artiste et les spectateurs. |
Les robots et l'intelligence artificielle ne font plus partie du futur ni de la science fiction.
Peut-être qu'il suffit d'être conscient de l'usage qu'on en fait pour
renverser
notre sentiment d'impuissance et de découragement.
Peut-être qu'il suffit d'être conscient pour donner vie à l'utopie initiale.
"Mon présent, c'est parfois une forme d'impuissance et de découragement face au monde qui va mal, face à l'avenir morose qu'on nous propose. Les nouvelles technologies s'installent alors comme un échappatoire léger et salutaire: juste pour se vider la tête."
A travers ce texte, l'auteure a voulu réfléchir sur les dérives négatives de cet échappatoire : l'enfermement, l'isolement, la déconnexion du réel. Max vit enfermée dans un cube, métaphore de ce qu'est devenue sa vie. Sa seule relation extérieure est représentée par Léo, son assistant vocal.
Réfléchir, mais pas condamner en bloc. Il s'agit aussi de mettre en lumière les aspects positifs du développement d'internet, des réseaux sociaux, de l'intelligence artificielle... Telles qu'on les avait imaginées à leur création, ces nouvelles technologies pourraient bien être une base solide pour l'entraide, le partage des connaissances, la solidarité à grande échelle et au-delà des frontières, la libre circulation illimitée et gratuite des idées...
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